Le missionnaire a tout à apprendre : la langue – la culture – un nouveau style de vie – etc.
Avant d’entreprendre, il doit écouter les autres.
Tout au long de sa carrière, il aura à apprendre, et devra rester « enseignable ».
Quelqu’un qui aime.
Cela nous parle de compassion, d’humilité, sans se laisser écraser.
Aimer signifie servir l’église et les autres : nous travaillons avec des « frères » !
Vouloir le progrès des autres, leur maturité, leur autonomie (et non la dépendance)
Le missionnaire est un « trouble-fête » et « un signe de la fin ».
Le missionnaire vient travailler sur le terrain occupé par l’ennemi. Libérer l’esprit des gens des liens du péché et des démons, les corps de la maladie et de la faim, libérer les intelligences des liens d’ignorance, etc. entraîne souvent des troubles. Le missionnaire est un signe des temps de la fin (Matthieu 24,14).
Simple instrument de Dieu et ouvrier avec Dieu. (1 Corinthiens 3, 6-8)
La gloire revient à Dieu seul, le missionnaire ne peut attirer la gloire vers lui.
Il aura cependant part aux récompenses célestes.
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