La Théologie de la mission commence avec le plan que Dieu

La théologie de la mission commence avec le plan que Dieu
a établi pour l’histoire : la mission de Dieu. Pour retrouver les grands textes qui décrivent l’intention divine, il suf t d’utiliser la méthode
diachronique que préconise la théologie biblique.

Dans cet article, la mission de Dieu est considérée comme étant sa bénédiction pour tous les peuples en Jésus-Christ. Dieu a choisi d’accomplir sa mission
en manifestant puissamment sa présence parmi un peuple attaché à son alliance. Ce peuple de l’alliance est constitué de ceux qui
reconnaissent le règne de Dieu sur leur vie avec pour mission de bénir les nations. Cette mission de Dieu est clairement le fondement
même de toute théologie de la mission Il est clair que certaines promesses de Dieu s’adressent spéciquement à Israël en tant que nation, et doivent encore être accomplies ; ce sujet dépasse les limites de cette étude. Cet article est
consacré à la mission de Dieu envers toutes les nations, y compris Israël, mission qu’il veut accomplir en notre temps par le moyen de
l’Église.

Nous retracerons ce qu’est la mission de Dieu depuis le Pentateuque, les livres historiques, poétiques et prophétiques, les
évangiles, le livre des Actes, les épîtres pauliniennes et générales,
et en n l’Apocalypse.

LA MISSION EST NÉE

Genèse 1 : 27 déclare : « Dieu créa l’homme à son image : Il le créa à l’image de Dieu, Homme et femme il les créa ». Ce verset sous-entend deux grandes vérités qui sont à la base même de toute théologie
de la mission.

1) Tous les peuples, les clans, toutes les langues et les dialectes, les hommes et les femmes sont de manière égale l’objet de l’amour rédempteur de Dieu.
En dépit de la Chute de l’homme (Genèse 3), nul n’est pécheur au point d’être hors d’atteinte du salut de Dieu s’il se repent, et aucun
lieu n’est hors de portée de l’amour de Dieu. N’importe quel groupe ou tribu, s’il se con e en lui, peut participer pleinement à la mission
de Dieu qu’il est en train d’accomplir en faveur des nations.

2) Être créés à l’image de Dieu implique le potentiel d’agir avec autorité au titre d’ambassadeurs et de membres de la famille royale au sein du royaume de Dieu. Déjà dans Genèse 2 : 19–20, cette vérité est illustrée par le fait qu’Adam soit appelé à donner
un nom aux animaux.

De même, Noé représenta Dieu lorsqu’il bâtit l’arche. Il n’est donc pas surprenant que Dieu ait répété la promesse qu’il a faite à Abraham : « Toutes les familles de la terre seront
bénies en toi » (Genèse 12 : 3; cf. 18 : 18; 22 : 18). Ce concept de « l’image de Dieu » sera plus tard le fondement de l’envoi des disciples par Christ en mission de par le monde avec son autorité, mais aussi0
du revêtement de puissance accordé à plusieurs groupes successifs en vue du témoignage à travers le livre des Actes, et de la déclaration pleine

< d’assurance de Paul quand il dira :
« Nous sommes donc ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! » (2 Corinthiens 5 : 20). C’est
ainsi que tous les croyants sont appelés à rechercher les dons spirituels auxquels Dieu pourvoit, et qui peuvent seuls les rendre capables d’accomplir leur mission
(cf. Joël 2 : 28–29 ; Actes 1 : 8; 2 : 16–18 ; 1 Corinthiens 12 : 31; 14 : 1, 39).

Dieu avait annoncé que la semence de la femme écraserait la tête de Satan (Genèse 3 : 15). La suite de l’histoire relate le plan de Dieu pour vaincre Satan à travers la descendance promise. Le déluge démontra la prérogative du Créateur de juger le
monde entier (Genèse 6–9). La grâce est également révélée par une alliance éternelle avec toutes les créatures vivantes (9 : 15–16). De nombreux commentateurs voient en Genèse 9 : 27 une promesse postdiluvienne de la présence manifeste de
Dieu parmi les tentes de Sem.

Les 70 nations mentionnées au chapitre 10 sont le résultat du jugement de Dieu à Babel sur ceux qui se sont rebellés en voulant « se faire un nom » (11 : 4). Une fois ces
nations établies, Dieu appela Abraham avec pour mission spéci que de devenir une source de bénédictions pour elles (12 : 3). Dieu intervint par une formidable théophanie à travers laquelle il manifesta
sa promesse à Abraham (chapitre 15). L’intention divine est soulignée davantage encore quand Dieu  t une « alliance perpétuelle » avec Abraham (17 : 7).Dans Genèse 22 : 18, nous trouvons
l’expression « par ta descendance » ajoutée à la bénédiction précédemment promise à Abraham en 12 : 3 et 18 : 18. La promesse de bénir les nations par Abraham peut être reliée à la précédente concernant la descendance de la femme. Ce plan est précisé
davantage quand la promesse est renouvelée à Isaac,  ls d’Abraham (26 : 3–4). Plus

UNE THÉOLOGIE DE LA MISSION

tard encore, Dieu se révéla à Jacob comme le Dieu d’Abraham et d’Isaac, promettant de bénir toutes les nations de la terre par la descendance de Jacob (28 : 13–14).
Puis, au Sinaï, Dieu scella une alliance — semblable à celle entre un souverain et son vassal — avec Israël, dans laquelle ce dernier promit de le servir comme son
Roi (Exode 19–40; Lévitique). Exode 19 : 6 est un passage signi catif quant à la mission de Dieu : « Quant à vous, vous serez pour moi un royaume de sacri cateurs et une nation
sainte ». Israël, « royaume de sacri cateurs »,était appelé à agir collectivement comme l’agent divin pour que s’accomplisse sa bénédiction envers les nations dans un premier temps de l’accomplissement du
plan qu’il avait promis. C’est ainsi que la promesse deviendrait réalité par le ministère sacerdotal de la prière et de la proclamation.

LE ROYAUME EN MISSION

Dans le livre de Josué, ce peuple qui vivait l’alliance faite avec son Roi reçut miraculeusement la terre promise. Cela fut possible quand le peuple avança dans
l’obéissance à son Roi dont la seule présence suf sait à lui assurer la victoire. Le territoire fut divisé et réparti entre les diverses tribus a n qu’elles en prennent
possession (Josué 13 : 6 ; 18 : 1–10). Puis, Dieu bénit son peuple en lui accordant du repos, à savoir des frontières sûres et la liberté face à toute menace pouvant
survenir de l’extérieur ou de l’intérieur. Après que Josué eut renouvelé deux fois l’alliance (8 : 30–35 ; 24 : 1–27), le peuple
de l’alliance fut établi pour bénir les nations (4 : 24).Cependant, le livre des Juges nous montre que le peuple, au lieu d’être une bénédiction, traversa alors une période de
déclin. La plus grande question était de savoir qui était vraiment le Roi ; cela est démontré de façon dramatique par le cycle à répétition d’apostasie, de punition, de repentance et de restauration. Ces cycles
précèdent et suivent le récit central dans lequel Gédéon déclara : « C’est l’Éternel qui régnera sur vous » (Juges 8 :23, version Semeur). Il y a là un contraste certain avec Abimélek qui sera un anti-juge et tentera
d’usurper le règne appartenant au Seigneur (chapitre 9). C’est ainsi que la scène est désormais prête pour la vocation de David. Dans 2 Samuel 7 : 16, Dieu promit à David un royaume
éternel (Genèse 49 : 10). Il est évident que la mission de Dieu inclut le royaume éternel qui englobera toutes les nations. La descendance promise qui sera en bénédiction à toutes les nations viendra par la
lignée de David.

LA VIE DANS LE ROYAUME

La mission de Dieu est bien présente dans les livres de la sagesse où les termes « royaume » et « la crainte du Seigneur » y font allusion. Les psaumes royaux célèbrent le règne du Roi que le Seigneur
a oint (Ex : Psaumes 2 ; 18 ; 20 ; 21 ; 45 ; 72 ; 89 ; 101 ; 110 ; 132 ;144). Si les rois d’Israël et de Juda ne purent étendre leur territoire au-delà des frontières divinement établies, ces Psaumes nous montrent le Messie, ou celui que pré gure David, régnant dans la
splendeur de sa gloire sur toutes les nations de la terre. Les nations,quant à elles, sous désormais incluses dans l’alliance divine comme « le peuple du Dieu d’Abraham » (Psaume 47 : 9). Tout le Psaume 67 est
consacré au thème de la bénédiction aaronique de Nombres 6 : 24–26 qui a pour but l’extension de règne et de la bénédiction de l’alliance de Dieu aux nations. 10 Le Psaume 117 appelle toutes les
nations à s’unir pour célébrer Yahvé, nom divin de l’alliance d’Israël.La mission de Dieu est présentée comme étant accomplie au jour spécial que Dieu a établi (Psaume 118 : 22–26). Ce jour a commencé lorsque la pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue
la pierre angulaire (verset 22). Le texte se termine par un couronnement royal : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur » (verset 26).
Entre le rejet et le couronnement se trouve cette prière : « Éternel, accorde le salut ! Éternel, donne le succès ! » (verset 25). C’est ainsi que le psalmiste anticipait toutes les étapes du jour de Christ tel que
révélé dans le Nouveau Testament : son rejet et sa cruci xion, le temps de la grâce par la proclamation du salut pendant l’ère de l’Église, et son couronnement lors de sa deuxième venue.
Les livres de la sagesse nous enseignent aussi que la crainte du Seigneur est une vie de bénédiction, de sagesse, de justice, et d’amour (en hébreu, hesed). Telle est la qualité de vie par laquelle il
invite les nations à entrer dans son alliance.

LE JUGEMENT ET LA PROMESSE

Au des siècles que couvre l’Ancien Testament, le peuple de Dieu s’est révolté contre son autorité. L’alliance abrahamique par laquelle Dieu voulait bénir les nations n’a jamais pu se réaliser par
un peuple rebelle à l’alliance mosaïque. C’est dans ce contexte que Dieu a parlé par les prophètes pour entrer en procès avec son peuple. Par exemple, Michée 6 : 1–8 a recours à un vocabulaire
légal pour exprimer les accusations que Dieu porte contre son peuple. 12 Les rois oints et tout le peuple furent coupables d’avoir violé l’alliance, et tous devaient être jugés.
Face à cette certitude d’un jugement universel, les prophètes annoncèrent la venue d’un Messie oint, du Serviteur de l’Éternel qui allait expier pleinement les péchés d’Israël et du monde. Des
jours meilleurs étaient à venir, mais seulement après un jugement national, une repentance nationale, et la venue du Serviteur qui « révélera le droit aux nations » (Ésaïe 42 : 1).
Les prophètes insistèrent sur le fait que, lorsque le royaume de Dieu serait rétabli, toutes les nations  gureraient parmi les rachetés. Ésaïe vit la gloire du Serviteur si grande qu’elle ne se contenterait
pas de racheter Israël. En fait, la lumière de l’Évangile irait jusqu’aux païens, et même « jusqu’aux extrémités de la terre » (49 : 6). Il vit aussi que la maison de Dieu était appelée à être « une maison de prière pour toutes
les nations » (56 : 7). Joël vit l’effusion universelle de l’Esprit sur toute chair, tant et si bien que quiconque invoquerait le nom du Seigneur serait sauvé (Joël 2 : 28–32). Abdias et Amos virent Édom, l’ennemi
par excellence, servant le Seigneur dans un royaume visité par un réveil (Abdias 21 ; Amos 9 : 11–12). Daniel vit les saints du Très-Haut recevoir le royaume de Dieu qui allait ensuite écraser tous les autres
avant de régner à jamais (Daniel 2 : 44 ; 7 : 18). Zacharie déclara que beaucoup de nations se joindraient ce jour-là à Israël et deviendraient le peuple parmi lequel Dieu réside (Zacharie 2 : 11).

LE ROI DÉCLARE SA MISSION

La fonction première des évangiles est de servir de déclaration royale af rmant la venue du Roi. Matthieu relie les promesses faites à Abraham et David en déclarant que Jésus descendait des deux
(Matthieu 1 : 1). Le plan de Dieu s’accomplit donc dans le royaume qui est présent en la personne du Roi. Puisque le royaume promis devait embrasser toutes les nations, les mages vinrent de l’Orient
pour l’adorer. Siméon déclara que l’enfant Jésus serait « lumière pour éclairer les nations et gloire de ton peuple, Israël » (Luc 2 : 32). Jésus  t avancer le thème du royaume par sa prédication comme
par ses miracles, proclamant ouvertement la dimension internationale de l’autorité que son règne  nirait par couvrir. Il délivrade la Cananéenne de son oppression démoniaque (Marc 7 : 24–30).
Il guérit le serviteur d’un centenier païen et déclara que la foi du centurion était plus grande que dans tout Israël (Matthieu 8 : 5–13). En fait, bien des païens viendraient « de l’Orient et de l’Occident »,
mais les  ls du royaume n’y entreraient pas (8 : 11–12). Dans ce contexte, il n’est pas surprenant que le héros de la plus célèbre des paraboles soit… un Samaritain. Jésus condamna les villes juives,
tout en af rmant que les cités païennes se seraient repenties si elles avaient eu la même occasion (11 : 21–24).La moisson est au centre des paraboles de Jésus, anticipant ainsi
la mission qui serait accomplie parmi toutes les nations. L’évangile de Jean est élaboré autour d’une sélection très rigoureuse de mots clés et de thèmes qui sont tous en rapport avec la mission divine en
faveur des païens : « parole » (logos), « monde » (kosmos), « croire », « tous les hommes », « quiconque », « les autres brebis », « les Grecs », et « moi aussi, je vous envoie ». C’est à une femme samaritaine que Jésus révéla pour
la première fois aussi ouvertement son identité messianique (Jean 4). Il annonça sa crucixion imminente en ajoutant la promesse que, lorsqu’il serait ainsi élevé de la terre, il attirerait tous les hommes
à lui (12 : 32). Si les douze ne furent initialement envoyés qu’auprès des « brebis perdues de la maison d’Israël », cette mission limitée était de nature transitoire et devait être englobée dans une autre bien
plus vaste auprès de toutes les nations (Matthieu 10 : 28). 13

LA MISSION EN ACTION

Le plan du livre des Actes décrit la progression anticipée de la mission de Christ : Jérusalem, Judée, Samarie, et les extrémités de la terre (Actes 1 : 8). Ce thème devient réalité suite aux événements survenus
à la Pentecôte quand les croyants réunis furent remplis du Saint-Esprit et éclatèrent en louange — dans des langues païennes.
Pierre fut le premier à ouvrir la porte tout d’abord aux Juifs, puis aux païens. L’Esprit poussa ensuite l’Église constituée de Juifs et de païens à Antioche à envoyer des missionnaires (chapitre 13). Le succès
de la mission auprès des païens contraignit le conseil à déterminer s’ils avaient une place ou non au sein de l’Église (chapitre 15). Jacques interpréta la prophétie
d’Amos 9 : 11–12 comme signi ant qu’une fois que Jésus serait révélé comme Roi, les païens pourraient librement être accueillis comme enfants de Dieu dans le cadre de l’alliance sans adhérer aux rites
juifs légalistes. Dès lors, l’Église grandit rapidement jusqu’à atteindre Rome, cœur de l’empire païen.

LES ÉGLISES MISSIONNAIRES

ET LE ROYAUME DE DIEU Les épitres de Paul furent écrites essentiellement pour résoudre les problèmes d’églises principalement constituées de païens. Paul considérait qu’il se devait
à tous les hommes (Romains 1 : 14) puisque tous ont péché et sont tous coupables devant Dieu. Il mentionna spéci quement que Dieu n’est pas seulement le Dieu des
Juifs, mais « aussi des païens » (3 : 29). 15 L’ancienne promesse concernant la descendance d’Abraham s’applique à Christ a n que la bénédiction touche tous les
peuples (Galates 3 : 8, 16). La promesse d’Exode 19 : 6 parlant d’un « royaume de sacri cateurs » est au centre de la pensée de Paul quand il déclare : « Je m’acquitte du
service sacré de l’Évangile de Dieu, a n que les païens lui soient une offrande agréable,sancti ée par l’Esprit Saint » (Romains 15 : 16). Dans la même veine, Paul continue en
disant que son ambition est de prêcher l’Évangile là où il n’a pas encore été annoncé (15 : 20).Dans la lettre aux Éphésiens, la doctrine de l’Église est donnée dans une
perspective missionnaire : le mur est tombé et les Juifs comme les Grecs se tiennent sur un même pied d’égalité devant Dieu. Dans 2 Corinthiens, Paul aspire à visiter
les « contrées au-delà » (10 : 16). Paul explique aux Philippiens que Jésus s’est humilié en revêtant la nature d’un serviteur a n que « toute langue confesse que
Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu » (2 : 7–11).Pierre fait aussi référence à la nature sacerdotale du nouveau peuple de Dieu dans un langage qui rappelle celui de
l’Exode (1 Pierre 2 : 9). Il explique ensuite que le fait que Christ tarde à revenir est dû à la patience de Dieu qui veut qu’un plus grand nombre soit sauvé. Il presse
l’Église à « hâter son avènement » (2 Pierre 3 : 12). 17 Jean appelle Christ « le Sauveur
du monde » (Jean 4 : 42 ; 4 : 14).

LE TRIOMPHE DU ROYAUME

Et en n, nous retrouvons les thèmes de toute l’Écriture concernant la mission de Dieu dans le livre de l’Apocalypse. « Des hommes de toute tribu, de toute langue,
de tout peuple et de toute nation. » Tel est le thème qui revient sous diverses formes (5 : 9 ; 7 : 9). Le terme « nations » apparaît 19 fois dans ce livre. Christ, lui qui est
seul digne, prend « la clé de David » (3 : 7),triomphe au titre de l’Agneau immolé et de Lion de la tribu de Juda (chapitre 5). La victoire est proclamée avec éclat en
ces termes : « Le royaume du monde est passé à notre Seigneur et à son Christ. Il régnera aux siècles des siècles ! » (11 : 15). Anticipant cette grande victoire, une
invitation  nale est lancée à tous ceux qui veulent bien l’entendre : « L’Esprit et l’épouse disent : Viens ! Que celui qui entend, dise : Viens ! Que celui qui a soif, vienne ; que
celui qui veut, prenne de l’eau de la vie gratuitement ! » (22 : 17).

CONCLUSION

Si l’approche diachronique de la théologie biblique ne peut concilier toutes les différences possibles dans l’approche de la mission, elle nous aide grandement à identi er la mission de Dieu. En quoi
consiste donc la mission ? La mission se réalise quand l’Église, remplie de l’Esprit, s’élance dans une obéissance joyeuse et volontaire, chaque chrétien étant un ambassadeur de Christ qui a pour mission
de bénir les nations.

Laisser un commentaire